Dernière
mise à jour : 28-01-2013 |
POUR UN DÉBAT CITOYEN sur LA QUESTION ÉNERGÉTIQUE _ - H - |
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-H- | DOCUMENTS ANNEXES | |||||||||||||||||
-H1- | Extraits du RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES : Les coûts de la filière électro nucléaire (Janvier 2012). | |||||||||||||||||
-H1-1- | Chap III.: LES DÉPENSES FUTURES (page 83) : "La
production d’électricité nucléaire a pour particularité
qu’une partie de ses coûts est reportée après
la période de production elle-même ; en outre, le
calendrier et l’ampleur de ces
dépenses futures sont encore souvent mal connus et leur
chiffrage repose sur de nombreuses hypothèses.... L’arrêté
du 21 mars 2007 relatif à la sécurisation du financement
des charges nucléaires distingue plusieurs catégories de
charges futures : Les
charges de démantèlement telles que calculées par
les trois exploitants nucléaires 'EDF, AREVA, CEA civil) forment
un total de 31,922 Milliard d'€. (charges relatives
au parc des réacteurs en exploitation et installations annexes).
Une
question se pose dès lors : celle de la pertinence des méthodes
de calcul utilisées. La cour des compte a comparé ces évaluations
avec celles pratiquées à l'étranger. Extrapolation
du coût de démantèlement du parc actuel : 11 comparaisons internationales - en Md€2010 -
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-H1-2- | Chap.V : LES ACTIFS DEDIES (page181) : Le dispositif créé par la loi de 2006 avait prévu l’existence d’une commission spécifiquement chargée du suivi des engagements financiers. Elle ne s’est pas réunie entre l’année de sa création (2006) et le mois de juin 2011, alors même que cette période a été marquée par des aléas importants sur les marchés financiers, entraînant des conséquences lourdes sur les investissements en actifs dédiés. Ainsi, les exploitants ont mis en place leur mode de gestion de portefeuille d’actifs, les pouvoirs publics ont accordé des dérogations aux principes initialement prévus par les textes législatifs et réglementaires, sans que cette commission puisse faire valoir un point de vue externe et indépendant sur la gouvernance des fonds et les équilibres entre actifs et passifs. |
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-H1-3- | Chap. VI : LES EVOLUTIONS POSSIBLES DES DEPENSES FUTURES. (page 207). "...
Au total, d’ici 10 ans, 24 réacteurs sur 58 auront
atteint une durée de fonctionnement de 40 ans. |
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-H1-4- | "
La France a décidé avec ASTRID (Advanced
Sodium Technological Reactor
for Industrial Demonstration) de concevoir
un prototype industriel de réacteur à neutrons rapides
refroidi au sodium. La loi de finances rectificative de 2010
a attribué 650 M€ à ce projet afin
de permettre son financement jusqu’au niveau de l’avant-projet
détaillé, ... L’objectif est de rendre possible en
2017 la décision de construction d’un pilote pour un déploiement
industriel à partir de 2040 si la décision politique
en est prise. Le coût de construction de ce pilote, qui n’est
d’ailleurs pas connu aujourd’hui, n’est donc pas compris
dans le programme ASTRID actuel. |
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-H1-5- | Un
futur plus lointain et plus hypothétique : La fusion (Page 223) "...Le coût du programme est estimé à 13 Md€2010 pour la construction, 6,3 Md€2010 sur 20 ans pour l'exploitation et 1 Md€2010 pour la cessation définitive d'exploitation et le démantèlement. La contribution directe de la France à la construction s'élève à 1,1 Md€2010, dont 480 M€ assurés par huit collectivités territoriales de la région PACA et le solde par l'État. Les travaux d'aménagement du site et de construction des équipements sont conduits par l’agence ITER France, créée au sein du CEA. De 2007 à 2010 la viabilisation du site et l'aménagement des infrastructures ont coûté 208 M€ courants. Le bâtiment du tokamak186 permettra à l’horizon de fin 2019 de tester les technologies fondamentales destinées aux réacteurs de fusion. Sa structure en béton armé se composera d'une partie souterraine profonde de treize mètres et d'une partie aérienne. Il sera entouré de structures auxiliaires, tours de refroidissement, installations électriques, salle de contrôle, installations de gestion des déchets et des laboratoires..." |
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-H1-6- | Les
coûts de l’EPR (Page
224) "...Concernant les coûts de construction de l’EPR de Flamanville 3, EDF a annoncé le 20 juillet 2011 un coût révisé, y compris ingénierie, de 6 Md€ (3,7 M€/MW pour 1 630 MW) et un objectif de première production commercialisable en 2016. On peut rappeler qu’en décembre 2008, le coût était estimé à 4 Md€ pour une construction en 54 mois puis réévalué en décembre 2010 à 5 Md€ pour une construction en 78 mois... ...EDF n’a pas révisé officiellement ses prévisions de coûts de production sur la base de ses dernières annonces concernant le coût de construction de 6 Md€... ...Compte tenu de l’allongement des délais, qui laisse prévoir un montant élevé d’intérêts intercalaires, et de l’augmentation du coût de la construction depuis cette date, on peut estimer le coût de production futur de Flamanville entre 70 et 90 €/MWh, avec une durée de fonctionnement de 60 ans. Cependant, ces éléments doivent être pris avec une grande prudence...". EDF a rendue publique (France Inter, le 4 décembre aux informations du matin) sa nouvelle évaluation du coût de l'EPR : plus de 8 milliards, alors que les prévisions initiales étaient de l'ordre de 3 Milliards). |
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-H1-7- | CHAPITRE VII. LES COUTS DIFFICILEMENT CHIFFRABLES... (Page 233). "...Les émissions de CO2 de la production électronucléaire en France sont estimées à 15g de CO2 par kWh" : Noter que cette valeur est notablement inférieure à l'estimation d'autres experts étrangers, dont l'étude SOVACCOL qui donne 66g de CO2 par kWh. Le
droit positif français (Page
253) |
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-H1-8- | CHAPITRE VIII CONCLUSION GENERALE. (page 265). "...
Le développement de l’énergie nucléaire repose
sur un fort investissement dans la recherche qui a été
financé majoritairement sur crédits publics...
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-H2- | Les ÉCHOS par Veronique Le Billon | 06/02/2013 | L'Institut de sûreté nucléaire a évalué l'impact d'un accident nucléaire « grave » ou « majeur » en France. Son coût irait jusqu'à 430 milliards d'euros. Un montant sans commune mesure avec l'explosion de l'usine AZF ou le naufrage de l'Erika, évalués autour de 2 milliards d'euros.
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-H3- | Iter, le naufrage.(Blog Médiapart. Reproduit intégralement)
Un fiasco scientifique? Le
réacteur Iter, chambre de confinement d'un gaz ionisé porté
à 100 millions de degrés, est la version d'une très
grande taille de réacteurs appelés tokamak, fonctionnant
actuellement dans de nombreux pays. La grande taille du réacteur
est définie pour espérer atteindre le seuil permettant de
dégager suffisamment d'énergie d'origine nucléaire
par fusion d'atomes légers pour produire de l’électricité.
Il s'agit du principe de fonctionnement de la bombe H. Parmi ces interrogations fondamentales, il convient de mentionner entre autres: - la fragilité des bobines supraconductrices servant à confiner le plasma dans le réacteur Iter: ce seront les plus grands bobinages supraconducteurs jamais réalisés. Mais leur tenue au flux de neutrons est très incertaine; n’ayant résisté que pendant quelques secondes dans les réacteurs expérimentaux, il n'est pas du tout certain qu'ils resteront fonctionnels durant un laps de temps de plusieurs années permettant réellement de mener à terme le programme de recherche prévu. «Croire que ces bobines pourront résister toute la durée de vie du réacteur est complètement fou», disait Pierre-Hilles de Gennes, prix Nobel de physique. Qu’en sera-t-il pour une phase d’expérimentation prévue sur 25 ans? - le risque de disruption majeure, qui est la perte brutale du contrôle du confinement du plasma en régime thermonucléaire: ce risque n’est jusqu’à présent pas du tout maîtrisé. Des études récentes précisent que ces disruptions, qui génèrent en quelques millisecondes une perte totale du confinement d'un plasma où circulent quinze millions d'ampères, peuvent provoquer des dégâts catastrophiques sur les structures du réacteur. Ces disruptions, véritables foudroiements cent fois plus intenses que la foudre atmosphérique, frappent l'enceinte interne du réacteur. Elles sont inhérentes à la technologie des réacteurs de type tokamak et ne peuvent être totalement évitées. Elles induiront une destruction partielle de la machine et des aimants supraconducteurs. Il faut donc rechercher une méthode d’amortissement de leurs conséquences et un programme intensif de recherche est en cours sur ce sujet. Cependant, les dernières recherches tendent à indiquer que ce risque a été largement sous-estimé lors de la conception technique d'Iter. En effet, la taille considérable du réacteur Iter rend caduques les solutions qui semblaient efficaces dans des réacteurs de taille modeste. Ainsi, un chercheur anglais écrit récemment que «les effets des disruptions sur les futurs tokamaks, comme Iter, auront des conséquences sévères. Dans des machines dimensionnées comme des générateurs d’électricité, une disruption serait catastrophique». De même, une thèse récente menée sous l’égide de l’Ecole polytechnique et du CEA confirme que les disruptions des plasmas des tokamaks sont des phénomènes menant à la perte totale du confinement du plasma en quelques millisecondes et peuvent provoquer des dégâts considérables sur les structures des machines. Or, ce point particulièrement inquiétant a été totalement occulté dans l’étude de risque du projet Iter soumis à l’enquête publique! - la tenue de la première paroi du réacteur, qui contiendra un plasma à plus de 100 millions de degrés, construite avec du béryllium, matériau léger, fragile et toxique, résistant à 1287 degrés seulement: sa résistance face à un flux intense de neutrons, aux chocs thermiques et à l’abrasion est pour le moins incertaine. Le programme international de recherche IFMIF (International Fusion Materials Irradiation Facility) associé à Iter et piloté par le Japon a été conçu pour apporter la solution technique à ce problème avant la fin de la construction du réacteur Iter, mais il est jusqu’à présent resté dans les limbes et le restera sans doute encore longtemps, car il ne semble toujours pas financé (3 à 5 milliards d’euros). Qu’en sera-t-il en 2023, quand le réacteur Iter sera exploité en phase tritium? - la conception des modules tritigènes, situés juste derrière la première paroi en béryllium, destinés à reconstituer le tritium, matière rare, particulièrement dangereuse et qui n’existe pas dans la nature, est basée sur une circulation d’un mélange lithium-plomb à l’état liquide, refroidi par eau contenue dans une céramique refroidie à l’hélium. Ces éléments sont d’une effrayante complexité et n’ont pas encore été totalement testés. Que se passera-t-il en cas de rupture de la céramique, le mélange de l’eau et du lithium étant extrêmement dangereux? - le risque sismique enfin est sous-évalué : l’impact d’un tremblement de terre sur le site de Cadarache, notoirement sismique, aura des conséquences sur la stabilité du plasma à l’intérieur du réacteur Iter, même sans destruction du réacteur. En effet, une secousse provoquant un déplacement des structures de seulement quelques millimètres entraînera irrémédiablement une disruption majeure aux conséquences fatales. La dalle anti-sismique sur laquelle sera installée le réacteur, en cours de construction sans même attendre les conclusions des stress-tests post-Hukushima, même si elle garantit une sauvegarde globale des infrastructures, ne permettra pas de garantir l'intégrité du réacteur dans son ensemble après un séisme, ce qui rendra très aléatoire, voire impossible, une remise en service de l'installation. Tous ces éléments inquiétants sont reconnus par le directeur général d’Iter, qui s’empresse d’en conclure que le programme Iter est justement conçu pour apporter des réponses à ces questions au cours de l'exploitation! Force est de constater que le projet a été présenté ces dernières années de façon tronquée et sans souci d’objectivité, à l’opposé de la déontologie élémentaire de toute démarche scientifique et technique qui doit comprendre une validation collégiale et transparente.
Un fiasco financier ? Engagé en 1985 suite à un accord Reagan-Horbatchev, le programme Iter était évalué à 8 milliards d'euros environ en 1998, ce qui fut jugé tout à fait excessif par les instances internationales, eu égard aux avancées scientifiques attendues. Un projet moins ambitieux fut alors établi et lancé en 2001 sur la base d’une évaluation financière à 5 milliards d’euros. Aujourd'hui, le programme Iter est estimé à plus de 15 milliards d’euros! Et ce n’est sans doute pas fini… En
effet: Tous ces éléments laissent à penser que le coût du projet Iter va encore exploser; avancer aujourd’hui un coût final de 30 milliards d’euros n’est malheureusement plus une aberration ! De
plus, le projet Iter n’étant pas assurable, et donc pas assuré,
toutes les conséquences dommageables qui pourraient en résulter
seront, avec le démantèlement, à la charge des contribuables
français… Avec Georges Charpak, prix Nobel de physique, nous déclarons que «plutôt que de masquer une programmation initiale insatisfaisante à la fois sur le plan scientifique et technologique par une escalade budgétaire plus mauvaise encore, mieux vaudrait admettre enfin que le gigantisme du projet Iter est disproportionné par rapport aux espérances, que sa gestion apparait déficiente, que nos budgets ne nous permettent pas de le poursuivre, et de transférer cet argent vers la recherche utile». Alors,
aujourd'hui, pourquoi ne pas reconvertir le projet Iter en technopole
de recherche sur les énergies renouvelables qui pourrait bénéficier
des investissements déjà réalisés (accès,
plateforme, bureaux, lycée international…) et y transférer
les crédits de recherche déjà mobilisés? Nous
avons des chercheurs et des personnels d’une grande qualité
et une mine de nouveaux emplois locaux durables en perspective!
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-H4- | Site du CEA / Cadarache ... Historique de Cadarache Films pédagogiques : Radioactivité - La fusion - Fission: réaction en chaine - En Savoir plus sur ITER et la fusion magnétique (site du CEA). Etude d’une méthode d’amortissement des disruptions d’un plasma de tokamak, thèse de doctorat de Cédric Reux (11/2010) . Résumé de la Thèse -Ecole Polytechnique / CEA- reproduit intégralement ci-dessous : "
Les disruptions des plasmas de tokamak sont des phénomènes
menant à la perte totale du conf inement
du plasma en quelques millisecondes. Elles peuvent provoquer des dégâts
considérables sur les structures des machines, par des dépôts
thermiques localisés, des forces de Laplace dans les structures
et par la génération d’électrons de haute énergie
dits découplés pouvant perforer les éléments
internes. Leur évitement n’étant pas toujours possible,
il apparaît nécessaire d’amoindrir leur conséquences,
tout spécialement pour les futurs tokamaks dont la densité
de puissance sera un de à deux ordres de grandeurs plus importante
que dans les machines actuelles. Un certain nombre de résultats produits dans cette thèse ont été utilisés à charge dans l'argumentaire de Jean-Pierre PETIT. Argumentaire qui a donné lieu à une réponse du CEA.
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-H5- | Voyager au Japon deux ans après Fukushima Mardi 19 février 2013 - WELCOME TO FUKUSHIMA - Alain de Halleux - Movie maker, he made CHERNOBYL 4EVER and RAS, two movies about nuclear industry. Site
de l'Institut de Radioprotection et de Sureté Nucléaire
: "Le
déroulement de l'accident de Fukushima Daiichi"
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-H6- | Fessenheim : un physicien de l’Ecole polytechnique demande la fermeture : ..."Le principal problème des centrales nucléaires françaises est que parce qu’elles sont essentiellement du même type que les centrales japonaises et que les centrales américaines, y compris celle de Three Mile Island, elles présentent le même risque de fusion du cœur et de ses conséquences contre lesquelles on est sans défense à l’heure actuelle."... Centrale
nucléaire de Fessenheim Pour
fixer les idées, on peut comparer cette épaisseur de dalle
avec celle de la centrale de Fukushima : 7,60 mètres
Voir aussi le blog dédié: http://fukushima.over-blog.fr/ et entre autres l'article du Vendredi 13 mai 2011 "Le réacteur n°1 de Fukushima Dai-ichi est devenu une passoire". A.S.N. Avis d'incidents survenues à la Centrale nucléaire de Fessenheim |
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-H7- | Les
mensonges atomiques du gouvernement
Ci-dessous, les affirmations de la vidéo :
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-H8- | GAZ DE SCHISTE. Géothermie profonde versus gaz de schistes : À travers le verrou de la fracturation hydraulique, la récente QPC (question prioritaire de constitutionnalité) transmise au Conseil d'État par le tribunal administratif de Cergy Pontoise le 21 mars 2013 à la demande de la compagnie pétrolière états-unienne Schuepbach [1] soulève indirectement la question de la géothermie profonde.... SLATE. - publié le 06/02/2013 - La France n'a jamais renoncé au gaz de schiste. ÉTUDE DE FAISABILITÉ - Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques Gaz
de schiste, gaz de Lacq : les erreurs de Michel Rocard et de François
Fillon Total conteste toute fracturation hydraulique sur le gisement de Lacq.
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-H9- | Association
NégaWatt - Scénario NégaWatt 2011
Voir aussi le Scénario NegaWatt régionalisé PACA (2012) et autres documents PACA / site de l'ORE.
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Electricité osmotique 1000
centrales nucléaires au fil de l'eau... Mardi 20 décembre 2011 / Écrit par: Vincent Delong - L’énergie osmotique, quand l’eau douce rencontre l’eau de mer.
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-H10- | L'Espagne
inaugure la première centrale solaire à concentration à
vocation commerciale en Europe La ville de Séville a inauguré vendredi la première centrale solaire « à concentration » destinée à l'exploitation commerciale en Europe. D'une capacité de 11 MW, elle a été conçue pour produire 23 GWh d'électricité par an.
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-H11- | Valorisation du CO2 par culture de micro-algues :
Valorisation du CO2 par La méthanation : captation de CO2 et transformation de l'électricité en méthane de synthèse. |
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-H12- |
Application des cultures de micro-algues dans le domaine du bâtiment : L’état
subventionne un projet de micro-algues en façade : Architecture:
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-H13- | Energie renouvelable : tour d'horizon - 16/02/2009 - Dossier Futura-sciences - | |||||||||||||||||
Europe: discours du Président Hollande - 05 février 2013- ..."faire des économies, oui ; affaiblir l'économie, non." Monsieur le Président, si vous ne tenez pas vos engagements, tout ce que vous aurez dit ici se retournera contre vous !!! |
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